 
      
  BFM-Pravda retourne se heurter à la Borne de l’inexistence, par Modeste Schwartz
Incarnant « le choix de la continuité », le cabinet Borne2 ressemble bien sûr à s’y méprendre au cabinet Borne1 – c’est-à-dire, compte tenu des contraintes structurelles de l’hyperprésidence : à rien. BFM est donc allé, auprès de la Dircab des Dircabs, recueillir une décalcomanie un peu chiante du discours présidentiel de Nouméa – réussissant, heureusement, à glisser un peu de com’ sécuritaire au passage. On a failli s’ennuyer.
CDS
 
       
    
     
       
         
       
       
       
       
      