Les voies de fait sont répréhensibles : c’est l’un des piliers de l’État de droit. Mais les peines hallucinantes requises contre les agresseurs du chocolatier d’Amiens – un certain Trogneux – laissent craindre une évolution du système français vers un tout autre modèle.

 
       
    
     
   
       
         
       
       
      