Le gouvernement Meloni ne s’attendait probablement pas à une curée aussi rapide : en annonçant par surprise une taxe sur les super-profits des banques, destinées à récupérer une partie des gains bancaires dus à la hausse des taux directeurs de la BCE, il a provoqué un dévissage massif et immédiat de ses banques sur les marchés boursiers. Face à la résistance de la finance, Meloni est aujourd’hui contrainte de faire machine arrière. Nul ne sait si elle osera même saisir le Parlement de son projet explosif.

 
       
    
     
   
       
       
         
       
       
        