Soulagement à Berlin et Bruxelles : Friedrich Merz, bien que fragilisé, devient chancelier fédéral, par Ulrike Reisner

Journal de l’Empire des Habsbourg : ce matin, Friedrich Merz n’a pas obtenu la « majorité chancelière » requise au premier tour. Jusqu’à présent, tous les chanceliers fédéraux avaient réussi à obtenir cette majorité, même si parfois de justesse. À Berlin, le chaos règne, car la coalition prévue entre les conservateurs et les sociaux-démocrates repose déjà sur des bases fragiles. Mais grâce au soutien des Verts et de la gauche, un deuxième tour a été organisé dans l’après-midi, que Friedrich Merz a remporté à une courte majorité. La farce indigne d’aujourd’hui est tout sauf un « signal fort » envoyé à l’Europe. Friedrich Merz est déjà un canard boiteux avant même d’avoir prêté serment !
