Nous sommes mardi, le ministre de la Santé du cabinet Borne2 s’appelle toujours Aurélien Rousseau, et sa femme est toujours N°2 de l’Assistance publique. Mais tout va bien, car Borne va lui signer cet équivalent macronien de l’indulgence papale : un déport.

 
       
    
     
   
       
         
       
       
         
      