On nous vend la finance comme un espace de sophistication, mais la réalité, c'est que les outils les plus puissants sont gardés sous clé. Le crédit lombard — un marché de 4 400 Mds $ par an — est l'un de ces secrets de polichinelle. On ne vous en parle pas, car il s'adresse aux patrimoines importants. Aujourd'hui, Le Courrier brise pour vous ce vrai-faux plafond de verre.
Besoin de cash : cesser de vendre vos actifs !
La règle d'or pour s'enrichir, c'est de laisser la richesse travailler. Pourtant, dès que vous avez besoin de liquidités — pour un projet immobilier, un investissement, ou simplement la consommation — que fait-on ? On vous pousse à vendre vos actifs.
C'est une hérésie !
Vendre, c'est :
· Tuer la poule aux œufs d'or : votre assurance-vie ou votre portefeuille ne génère plus d'intérêts sur la partie vendue ;
· Payer la dîme à l'État : vous déclenchez de la fiscalité sur les plus-values.
Le crédit lombard est le marteau qui fracasse cette logique perdante.