Pour épargner sa bureaucratie, Macron lance une inquisition fiscale démagogique

Macron et ses admirateurs ont beau se faire passer pour ce qu’ils ne sont pas (des humanistes éclairés et modernes), les mêmes méthodes obscurantistes que dans les régimes dits populistes sont utilisées en France. Alors que la colère oblige le Président à se bunkériser, Gabriel Attal, son ministre des Comptes Publics et successeur potentiel utilise la vieille fibre du clivage entre riches et pauvres pour justifier une inquisition fiscale sans limite. Officiellement, il traquera les « super-riches » et les grosses fraudes pour remplir les caisses d’un État à la dérive, où toujours plus de dépenses suffisent toujours moins à satisfaire l’appétit sans limites de la bureaucratie. En réalité, c’est l’inquisition fiscale qui se met en place pour éviter de baisser les dépenses et pour protéger le train de vie d’une bureaucratie toujours plus nombreuses et toujours plus puissantes.
