Aimant à scandales, la Première Trogneux est là pour attirer les secteurs les plus anti-macronistes de l’opinion dans une série d’enfumages dont le principe reste celui de la plupart des enfumages de la politique spectacle – qui est d’éluder les questions : Combien ça coûte ? Et : Qui paie ?

 
       
    
     
   
       
         
       
       
      