La Macronie nous sait (ou, en tout cas, nous veut) débiles. Borne entreprend donc sans rire (on ne rit pas avec le pognon de dingue) de nous expliquer, via un numéro vert « Canicule Info service », ce qu’il faut faire quand on a chaud.


L’Union européenne poursuit son mouvement d’expansion, comme si l’avenir du continent dépendait uniquement de l’addition de nouveaux membres. L’Albanie franchit une étape décisive avec l’ouverture du dernier groupe de chapitres de négociation, celui portant sur les ressources, l’agriculture et la cohésion. À Bruxelles, on justifie ce choix par une prétendue “nécessité géopolitique”. En réalité, cette fuite en avant révèle surtout l’incapacité structurelle de l’UE à se repenser autrement que par
Rédaction
Veerle Daens l'a déjà rappelé : la politique d'attractivité de la France consiste à accorder des avantages fiscaux aux multinationales et à plomber fiscalement nos PME nationales. Le sommet Choose France a rappelé combien ce calcul est foireux. C’était hier, à la Maison de la Chimie. Une nouvelle messe de la « Start-up Nation », célébrée par le Président de la République et son Premier ministre, Sébastien Lecornu. Le sommet « Choose France – Édition France » devait être l'apothéose de la s
CDS
La requête d'enquête de deux députés suisses sur des cadeaux luxueux (lingot d'or et montre Rolex) offerts à Donald Trump par des patrons expose la nature des échanges internationaux. La baisse des droits de douane suisses, obtenue peu après, soulève une question fondamentale : la négociation est-elle devenue un simple marché où l'influence s'achète au grand jour ? La scène, presque surréaliste, a fait le tour des médias : un lingot d’or d’un kilo et une horloge Rolex trônant sur le bureau de D
Lalaina Andriamparany
Il règne comme un parfum d'automne 2024 dans les couloirs du Palais Bourbon. Une odeur de soufre, de lassitude et, surtout, de déjà-vu. Souvenez-vous : décembre dernier, le gouvernement Barnier chutait, laissant la France au bord du précipice budgétaire, sauvée in extremis par une « loi spéciale » le 20 décembre. Un an plus tard, alors que Sébastien Lecornu tente de manœuvrer dans une Assemblée plus morcelée que jamais, la même question hante les esprits : la France aura-t-elle un budget au 1er
Rédaction
Il faut parfois rendre grâce à nos dirigeants. Non pas pour leur efficacité, faut pas pousser, mais pour ces rares moments de lucidité involontaire où, pris de panique, ils lâchent le morceau. Merci donc, infiniment, à Yaël Braun-Pivet. Les personnels de l’Assemblée nationale font preuve d’un dévouement et d’une neutralité exemplaires au service du mandat confié par les français aux députés. Je condamne fermement les propos tenus à leur encontre. Nourrir la défiance envers nos institutions et
CDS
Le 26 novembre, une quinzaine de syndicats issus des agences dites de « transition écologique et sociale » ont tenu une assemblée générale à la Bourse du travail. Objectif : dénoncer les coupes budgétaires prévues dans le projet de loi de finances 2026 et bâtir un front commun pour préserver leurs structures. Alors que les ménages affrontent des hausses de prix et l’État un déficit , la bureaucratie publique verte s’organise pour défendre son confort institutionnel, au nom d’un supposé intérêt g
Rédaction