Great Reset et monnaie numérique : comment gagner la guerre que la caste nous déclare ?

Great Reset et monnaie numérique : comment gagner la guerre que la caste nous déclare ?

Nos lecteurs savent que la mise en place d'une monnaie numérique (ce que nous appelons le putsch monétaire) constitue l'horizon final du Great Reset préconisé par Klaus Schwab. Nous l'annonçons depuis plus d'un an, en précisant régulièrement le calendrier de cette nouvelle monnaie qui remplacera l'euro papier. Dans la continuité de ma capsule sur le Stalingrad de Macron, j'ai voulu réaliser une capsule "pratique" sur la stratégie que nous devons déployer pour mettre ce putsch financier communiste en échec.

La monnaie numérique, qui vous ruinera et permettra par ailleurs de vous contrôler, est l’angle mort méticuleusement entretenu par le cartel de la presse subventionnée. Il s’agit, selon moi, du dernier étage du « putsch institutionnel » que la caste a commencé en 2020 avec la « gestion sanitaire », et qu’elle projette de maintenir à bas bruit, avec un curiaçage systématique, jusqu’en 2027 (année de la mise en service définitive de l’euro numérique).

L’objectif de cet agenda, vous le connaissez par coeur. C’est le « vous n’auriez rien et vous serez heureux » qui entoure de façon sulfureuse le World Economic Forum et le Great Reset de Klaus Schwab.

La question n’est pas de savoir si cet agenda est bon ou mauvais (vous connaissez tous la réponse). Elle est plutôt de savoir si éviter cet horizon est possible ou pas. Et si oui, à quel prix ?

Je tente de répondre à ces interrogations aujourd’hui. C’est pourquoi je vous recommande de regarder la vidéo que je publie ci-dessus : elle vous donne la tonalité générale de la réponse.

Le pire n’est jamais sûr

Bien entendu, je vous laisse regarder la vidéo où je prends le temps de donner mes idées sur ce sujet qui vous tient à coeur. Mais je voudrais commencer par vous envoyer une information essentielle en réponse à ce que j’entends de-ci de-là : le pire n’est jamais sûr !

Je sais que l’esprit de défaite contamine une bonne part de l’opinion publique, y compris au sein de la résistance. Je peste d’ailleurs parfois (souvent en fait, mais je le garde pour moi, dans le souci de préserver une apparence d’unité dans la résistance), contre ceux qui, dans nos rangs, en font des tonnes sur le fait que nous avons face à nous des puissants, des riches, des sans pitié, que nous ne pourrons jamais battre parce que eux savent comment rester puissants, riches, sans pitié, pendant que nous sommes d’incorrigibles gentils.

Je sais que certains tirent, d’une façon ou d’une autre, un profit certain de cet esprit de défaite, qui m’agace souverainement et que je ne partage pas du tout.

Pour ma part, je crois que, par principe, la vie est comme un match de football : la défaite n’est jamais acquise. Et je suis convaincu que les braves gens sont plus nombreux que les mauvaises gens. Donc, il n’y a pas de raison qu’ils gagnent contre nous.

Le pire n’est jamais sûr, disait ma grand-mère, et c’est plus vrai que jamais. Je suis absolument convaincu que la victoire nous reviendra.

La faillite du système est le mieux qui puisse nous arriver

Je n’en ai pas parlé dans la vidéo, mais je suis convaincu, depuis plus de dix ans, que le système capitaliste connivent que nous subissons finira par une faillite généralisée, qui est proche, qui sera douloureuse, mais qui est le plus grand bien qui puisse nous arriver. À force de faire croire aux gens qu’un État peut s’endetter sans limite pour payer son armée mexicaine de bureaucrates cupides, la caste à transformer les services publics en arme par destination contre l’intérêt général.

Désormais, tout le monde (ou, en tout cas, beaucoup de gens) pense que l’argent se trouve sous le sabot d’un cheval, et qu’il suffit de faire tourner la planche à billets pour en avoir. Peu d’entre nous se souviennent qu’il faut travailler pour s’enrichir.

Dans un système où la majorité vit à crédit, au-dessus de ses moyens, en se plaignant que ce n’est pas encore assez, un seul juge de paix peut intervenir utilement : la banqueroute ! Quand l’Etat annoncera un matin que les retraites ne seront pas payées, que les innombrables allocations qui servent à lutter contre la pauvreté ne sont plus imaginables parce que les caisses sont vides, deux choses nous resteront : nos yeux pour pleurer, et nos manches à retrousser pour nous mettre au travail.

Ce jour-là, la France renaîtra, parce qu’elle retrouvera la voie d’une vérité profonde qu’elle a absurdement oublié : seul le travail enrichit parce que seul le travail change la réalité.

La redressement national que nous sommes nombreux à attendre n’interviendra donc ni par les urnes ni par la révolution. Il commencera le jour où la fausse monnaie et l’imposture contemporaine imploseront.

Et c’est très bien comme ça !

Pouvons-nous accélérer ce mouvement ?

Mes considérations sur les bienfaits de la banqueroute signifient-elles que nous ne pouvons rien faire, si ce n’est attendre patiemment la faillite du système ?

Non, bien entendu, nous pouvons l’accélérer, accélérer sa décomposition, et surtout préparer la relève pour que la victoire ne nous échappe pas au profit des résistants de la 25è heure qui continueront l’oppression par d’autres moyens. Cette accélération passe par des moyens pacifiques et légaux, plutôt festifs d’ailleurs, mais qui suppose une mobilisation de votre part un peu plus intense que faire un chèque à une association pour qu’un avocat change le monde à votre place, ou que participer à des réunions de bavardage qui vous aident (et c’est très bien) à vous sentir moins seuls, mais qui ne débouchent sur rien.

Si cet engagement vous intéresse, suivez le Courrier des Stratèges, et surtout l’association Rester libre, dans les prochains jours, dans les prochaines semaines, pour vous engager au service de la sécession et pour participer à des actions concrètes qui seront autant de coups portés aux fondations d’un système de domination toxique et suicidaire.

Une seule réalité domine cette perspective : nous sommes des êtres libres, et notre destin n’est tracé que par nous-mêmes. Cette liberté est porteuse d’exigence et de responsabilité. Mais, déterminés, bien organisés, nous réussirons ce pari.