François, Manu, Jean-Luc et le christianisme festif, par Modeste Schwartz

Jean-Luc Mélenchon feint de s’étouffer d’indignation à l’annonce de la participation de Macron à la messe que doit célébrer un certain Bergoglio (dit François) dans un stade marseillais. Il a en effet politiquement intérêt à faire semblant de croire que Manu 1er (qui a pourtant bien précisé qu’il ne communierait pas) s’imaginerait qu’il reste la moindre trace de l’idée de Dieu dans le catholicisme – reproche qu’il serait d’ailleurs tout aussi injuste d’adresser au jésuite Bergoglio.
