Il n’y avait jusqu’à présent que le complotiste Modeste Schwartz pour expliquer que cette pseudo-guerre mondiale incapable (en 18 mois…) de quitter le sol de l’Ukraine orientale n’était qu’une comédie sanglante servant de lubrifiant à l’appétit de Green Deal des femmes blanches de Bruxelles et des industriels (aussi verts que connivents) qui les financent. Aujourd’hui, c’est l’acteur Zelensky – bouffon en chef de la farce meurtrière – qui, depuis la tribune de l’ONU, vient confirmer cette interprétation en assimilant explicitement Vladimir Poutine au changement climatique.

 
       
    
     
   
       
         
       
       
         
       
      