Denécé : « Macron pousse dangereusement à la guerre contre la Russie »
Contrôle Linky : compteur connecté, citoyen fliqué
Sous prétexte de traquer les fraudeurs, Enedis déploie une politique de contrôle invasive. Menaces de coupure, visites forcées et présomption de culpabilité : derrière le compteur Linky, c’est un nouvel outil de flicage des Français qui s’installe. Le gestionnaire de réseau Enedis intensifie sa chasse aux sorcières avec des contrôles de compteurs Linky multipliés, sous peine de coupure totale d'électricité. Sous prétexte de traquer la fraude, c'est une nouvelle étape dans la surveillance généra
Lalaina Andriamparany
Echec de l'EPSO: l’Union européenne, malade de sa propre bureaucratie
L'EPSO, l’Office européen de sélection du personnel, organe de sélection des fonctionnaires européens, accumule les échecs techniques. Les eurodéputés ont fortement critiqué l'EPSO en raison du dysfonctionnement de son système de recrutement en ligne. Entre bugs techniques, erreurs de traduction et favoritisme latent, l’échec de la modernisation du recrutement illustre la dérive bureaucratique d’une Union incapable de se réformer. Les eurodéputés ont demandé au bureau d’entamer une réforme inte
Rédaction
Trump II : l'imposture souverainiste et le triomphe de l'étatisme, par Elise Rochefort
Lors de son investiture en janvier dernier, Donald Trump promettait à l'Amérique un "nouvel âge d'or". Il s'était vendu à l'électorat, et à une partie du monde fascinée par son discours, comme le champion du peuple contre les élites, le rempart souverainiste contre la dissolution mondialiste, et l'homme d'affaires pragmatique qui allait "assécher le marais" de Washington. Un Asselineau ou un Philippot américain au fond. Dix mois plus tard, le bilan est cinglant. L'Amérique est plongée dans
Rédaction
Meloni veut que le piège de la BCE se referme : l'heure de la grande confiscation
Le ministère italien des Affaires Etrangères Tajani a imploré la BCE de baisser ses taux directeurs pour favoriser les exportations italiennes, fragilisées par le protectionnisme de Trump. Mais la balance commerciale italienne est positive (contrairement à la France). Ne s'agit-il pas plutôt de diminuer le coût de la dette pour l'Etat italien, sur le dos des épargnants qui vont s'appauvrir ? Pour comprendre la crise systémique qui couve, il faut saisir l'interaction toxique entre trois pili
Rédaction
Bébéar, le parrain par qui le capitalisme à l'anglo-saxonne a combattu le capitalisme de connivence en France
Le terme de « parrain », accolé par la presse et ses pairs à Claude Bébéar, n'est pas anodin. Il ne décrit pas un simple manager, aussi brillant soit-il, mais un détenteur d'autorité, un régulateur de l'ordre implicite, un arbitre des conflits du capitalisme français. Mais de quel capitalisme parle-t-on? Pour le comprendre, il faut saisir le moment de son avènement : l'après-Ambroise Roux. Le trône de la place de Paris est devenu vacant en avril 1999, au décès de Roux. Ce dernier incarnai
Éric Verhaeghe
Dans l’histoire, très peu de déficits budgétaires ont été réduits à coups de hausses d’impôts !
Croire qu’on peut réduire le déficit public en augmentant les impôts relève du réflexe maladif : seule la réduction de la dépense publique peut, dans la France de 2025, y parvenir. L'État moderne est en effet un pompier-pyromane: face à l'incendie structurel des finances publiques, le premier réflexe, pavlovien, de la caste au pouvoir est de brandir le spectre d’un impôt supplémentaire.Chaque nouveau déficit, chaque alerte de la Cour des Comptes, pourtant acquise à la doxa socialiste, est invar
FLORENT MACHABERT