En 2009, Lloyd Blankfein (Goldman Sachs) parlait encore de « faire le travail de Dieu ». 14 ans plus tard, la soubrette de la succursale euroslave de Wall Street, Christine Lagarde (BCE), prenant la parole à un séminaire de banquiers, se met à recommander l’humilité pour la com’ des banques centrales. Cela se passerait presque de commentaires.

 
       
    
     
       
       
         
       
       
      