Lors d’une réunion avec les personnels du Ministère des Affaires étrangères, Vladimir Poutine a exposé en termes simples les conditions et l’objectif d’une négociation pour mettre fin à la guerre d’Ukraine. Une manière pour le président russe de prendre date puisque l’OTAN a aussitôt rejeté ce qui était proposé.
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Les votes n’étaient pas encore comptés que les carrousels de personnel commençaient déjà à tourner. On se croirait sur un marché aux bétails : on négocie et on marchande, le tout accompagné par les bruits de fond des médias. La conférence des donateurs sur l’Ukraine à Berlin et le prochain sommet de la paix en Suisse ne manqueront pas de faire diversion. Un thème central reste donc sans réponse – comme c’était déjà le cas avant les élections : comment l’UE, comment les États membres veulent-ils
Rédaction
Depuis plusieurs semaines, Macron le va-t-en-guerre est une cible favorite de Matteo Salvini, L’ancien ministre de l’Intérieur, aujourd’hui figure importante du gouvernement Meloni, n’est pas aligné, loin de là, sur l’actuelle présidente du conseil italienne quand il s’agit de parler de guerre en Ukraine. Il est en l’occurrence beaucoup plus proche de ce que pense la société italienne et c’est de cette corde qu’il joue pour faire de Macron un bouffon matamore. ❌ Escalation militare e soldati it
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Emmanuel Macron entend bien phagocyter les derniers jours de la campagne européenne. Le thème d’une coalition d’instructeurs militaires de différents pays pour aider l’armée ukrainienne est l’arme fatale que le président français entend agiter, faisant le pari qu’aucun des candidats « établis » n’osera le défier sur le terrain de l’Ukraine.
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Tandis que Joe Biden pousse un plan de paix à Gaza, son administration fait tout pour entretenir le conflit en Ukraine. Rien ne saurait mieux dire combien la politique étrangère américaine est actuellement guidée par des considérations de politique intérieure. Face à Trump, dont les Démocrates n’ont pas renoncé à faire le « candidat de Poutine », il faut aider coûte que coûte le régime de Kiev à tenir. D’autant plus que la participation du clan Biden à la corruption des élites ukrainiennes rend
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L’armée russe vient de frapper avec des missiles Kinjal, un camp militaire en Ukraine, dans la région de Lvov, où se trouvaient, entre autres groupes, des militaires occidentaux. Cette frappe doit être vue comme un avertissement au moment où Washington et ses alliés européens rivalisent de déclarations agressives et encouragent ouvertement les Ukrainiens à des tirs sur le territoire russe. Sera-t-elle comprise ou bien la dynamique nihiliste occidentale est-elle inarrêtable? Sommes nous entraînés
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La guerre d’Ukraine ne peut continuer que dans la mesure où l’OTAN porte l’armée ukrainienne à bout de bras. En réalité, c’est la situation depuis le début de la guerre. Mais ce qui est nouveau, c’est que l’épuisement ukrainien n’est plus camouflé. Il est devenu évident que la guerre s’interromprait du jour au lendemain sans la « respiration artificielle » que procure l’OTAN. Bien sûr, une confrontation toujours plus visible entre l’OTAN et la Russie fait monter les risques de déflagration maje
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Emmanuel Macron continue à provoquer les dirigeants russes. Il fait penser à ces gamins dans les cours de récréation qui tournent autour des grands en leur répétant: « Tu me cherches? Tu me cherches? ». En déclarant hier 28 mai, lors de la conférence de presse commune avec Olaf Scholz, que les Ukrainiens devaient être en mesure de riposter (avec des armes occidentales) sur des cibles situées sur le territoire russe, le président français semble vouloir attirer sur lui une nouvelle « fessée russe
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