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Trump a-t-il besoin de la guerre, comme Roosevelt, pour s’en sortir?

Trump a-t-il besoin de la guerre, comme Roosevelt, pour s’en sortir?

Les supporters de Trump sont souvent déçus, ces jours-ci. Il y a l’impression dominante que le président, au début de son second mandat, patine. Il essaie beaucoup de choses mais ça n’a pas l’air de prendre. Le plus déconcertant, c’est le revirement au Proche-Orient, avec le déclenchement d’une guerre contre Ansarallah au Yémen et il y a l’angoissante question qui monte: y aura-t-il une guerre contre l’Iran? En réalité, la question de fond qui se pose est la même que pour Franklin Roosevelt: la
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Monsieur Trump: respect!

Monsieur Trump: respect!

Donald Trump vient d’être réélu président des Etats-Unis, de façon nette et sans bavure. A part lui-même, qui aurait cru à un tel retour le 20 janvier 2021, lorsque le président sortant a quitté la Maison-Blanche sans se rendre à l’inauguration de Joseph Biden? La démocratie américaine avait atteint un point bas de son histoire puisqu’un soupçon de fraude massive  pèse jusqu’à aujourd’hui sur les résultats de 2020. L’ancien président a, malgré le triste dénouement de son premier mandat, réussi à
Fil NOM Les droites de Husson
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Par pitié, président Lula, évitons de refaire les erreurs du rooseveltisme

Par pitié, président Lula, évitons de refaire les erreurs du rooseveltisme

La première journée de réunions du sommet de Johannesburg est intéressante non seulement par la volonté des membres de réhabiliter diplomatie et équilibre  des puissances ; mais aussi par ce que Lula a révélé de tentation néo-rooseveltienne : c’est une illusion de croire qu’il puisse y avoir une « gouvernance mondiale équitable » mais Lula s’y accroche.
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Comment De Gaulle aurait pris position dans le conflit OTAN –Russie, par Jean Goychman
French President Charles de Gaulle gestures during the tape recording of his speech to the French people. The speech marks de Gaulle’s appeal for support of his Algerian policy in the national referendum.

Comment De Gaulle aurait pris position dans le conflit OTAN –Russie, par Jean Goychman

J’ai sursauté en entendant un général habitué du plateau de LCI défendant l’idée que, puisque le général de Gaulle avait soutenu le président Kennedy lors de l’affaire de Cuba en octobre 1962, il sous-entendait qu’il aurait eu la même attitude aujourd’hui dans le conflit qui oppose l’OTAN à la Russie.
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Rédaction

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Relire « L’ami américain » d’Eric Branca –

Relire « L’ami américain » d’Eric Branca –

Si vous ne l’aviez pas encore lu, plongez-vous dans l’extraordinaire récit qu’a publié Eric Branca, en 2017, des relations entre de Gaulle et les Etats-Unis. Ce livre éclaire extraordinairement l’actuel conflit en Ukraine et, plus généralement, la soumission totale de l’UE aux Etats-Unis – que seule la France aurait pu empêcher, si elle était restée fidèle à l’exemple du Général.
Les droites de Husson bastien-Thiry
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De Gaulle face aux agressions de l’empire anglo-saxon – par Nicolas Bonnal

De Gaulle face aux agressions de l’empire anglo-saxon – par Nicolas Bonnal

De Gaulle , les Britanniques, les Américains: jamais une alliance de la France n'a été plus nécessaire et plus contrainte à la fois. Mais on n'a jamais fait le bilan. Et l'on n'a pas compris pourquoi le Général a tellement pris ses distances avec les Américains et les Britanniques une fois revenu au pouvoir, en 1958. Seuls dix-huit pays dans le monde n’ont jamais vu de présence militaire britannique A la Libération, le général de Gaulle a fort à faire avec nos alliés anglo-saxons (nos « fous
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Le syndrome Churchill et la catastrophique guerre occidentale, par Nicolas Bonnal

Le syndrome Churchill et la catastrophique guerre occidentale, par Nicolas Bonnal

On a vu le niveau de débilité, d’incompétence et même d’incorrection, vestimentaire ou autre, des leaders du G7. Macron est en perdition, Trudeau aussi et Biden va prendre une raclée, n’en déplaise aux catastrophistes. Mais mon sujet est le syndrome Churchill : Churchill est l’homme politique le plus nul possible (voir le livre de John Charmley) sur le plan pratique, et qui ne se sentait à l’aise que dans des guerres totales et d’extermination contre les Allemands, qui étaient la cible de l’époq
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Éric Verhaeghe

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Great Reset : autorité de l’Etat sur la société contre redistribution des richesses

Great Reset : autorité de l’Etat sur la société contre redistribution des richesses

Nous continuons notre journal du Great Reset par l'analyse de la table ronde consacrée aux changements économiques nécessaires prônés par Klaus Schwab. Cette discussion de 30 minutes, menée sur les chapeaux de roue, permet de comprendre pourquoi le Forum de Davos se convertit à l'intervention de l'Etat dans l'économie : la mise en place d'un nouveau plan Roosevelt permettrait de légitimer, par des investissements publics et une redistribution des richesses la reprise en main autoritaire des soci
Le Great Reset Great Reset
Éric Verhaeghe

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