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Pendant que le monde se poursuit son grand déchirement post-moderne, tournant la page des habits désormais trop grands de 1945, les querelles franco-françaises vont bon train, à la faveur des discussions budgétaires qui occuperont le pays jusqu’à la fin de l’année. Sous les lambris dorés d’une République qui ressemble de plus en plus à l’empire byzantin, une querelle gonfle étrangement : celle du milliard que le gouvernement aimerait prélever sur les réserves de l’AGIRC-ARRCO pour financer le re
 
        Éric Verhaeghe
 
       
    
     
       
       
         
      