parti de l'ordre


Le Courrier a-t-il trop soutenu les racailles et les émeutes ?

Le Courrier a-t-il trop soutenu les racailles et les émeutes ?

Daphné, qui nous soutient, nous a exprimé son mécontentement quant à la ligne que nous avons soutenue lors des émeutes récentes. Son interpellation tout à fait bienvenue nous donne l’occasion de préciser notre approche des événements, et en particulier notre perception de la police et de son intervention. Sur le fond, le Courrier est une publication libertarienne : nous sommes des amis de l’ordre lorsqu’il respecte la liberté et le droit, nous sommes des amis de la police lorsqu’elle fait son tr


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Des émeutes de 2005 à celle de 2023: impuissance et trahison du « parti de l’ordre »

Des émeutes de 2005 à celle de 2023: impuissance et trahison du « parti de l’ordre »

Emmanuel Macron est-il autre chose qu’une figure de ce « parti de l’ordre » qui surgit de temps à autre depuis 1848 et qui, toujours, vient clore une phase d’échec des milieux dirigeants français ? Entre impuissance et trahison des Français, c’est un cycle amorcé par le « kärcher » de Nicolas Sarkozy qui est en train de s’achever en désastre humain et social.


CDS

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Mélenchon est-il le diable en personne ?

Mélenchon est-il le diable en personne ?

De façon assez fulgurante, la percée de Bénédicte Taurine dans une obscure circonscription de l’Ariège, devant (au premier tour) une socialiste dissidente et le RN, a mis le feu aux poudres. Brutalement, le « tout sauf Le Pen » s’est transformé en « Tout sauf Mélenchon », avec le soutien complaisant de Marine Le Pen ou de son entourage. La macronie soupçonne le leader des Insoumis d’avoir remporté la bataille de l’opinion menée dans l’hémicycle sur les retraites, et il devient soudain l’ennemi p


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Tout sauf Mélenchon ou tout sauf Macron?

Tout sauf Mélenchon ou tout sauf Macron?

Une panique est en train de s’emparer d’une (petite) partie de la droite. Mélenchon est la réincarnation de « l’homme au couteau entre les dents ». Et certains préféreraient garder Macron que de laisser aller jusqu’au bout la guerre interne à la gauche qui a commencé entre le macronisme et le mélenchonisme. Grosse erreur stratégique, fondée sur une surestimation du danger que représenterait la gauche radicale. C’est ne pas voir que le mélenchonisme tire son oxygène du maintien de Macron au pouvo


CDS

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