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Immigration : Darmanin, LR et la mise en place du Gaza françaoui -par Modeste Schwartz

Immigration : Darmanin, LR et la mise en place du Gaza françaoui -par Modeste Schwartz

Dans le contexte de l’arabophobie d’Etat en cours d’institutionnalisation à Paris, les déclarations récentes de Darmanin – affirmant être disposé à « soutenir la quasi-intégralité des propositions » des sénateurs LR sur l’immigration – pourraient passer inaperçues. Pourtant, pendant que les groupes de prières de la post-politique française versent leurs larmes de crocodile – qui sur Israël, qui sur les Palestiniens –, ce que la gestion Darmanin, de droite euro-compatible, de l’immigration de mas


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Retenez Wauquiez, sinon il va faire un malheur, par Modeste Schwartz

Retenez Wauquiez, sinon il va faire un malheur, par Modeste Schwartz

Dépassant (sans trop de difficulté) le niveau intellectuel moyen des leaders de ce qui reste de LR, Laurent Wauquiez appliquait depuis quelques mois une stratégie d’une grande sagesse : se taire. A l’occasion de sa rentrée politique officielle, à Valence, il a malheureusement rompu ce vœu de silence – sous la forme d’un discours nous promettant, pour l’essentiel, qu’il sera encore là en 2027 pour faire d’autres promesses. Sauf AVC climatique, honnêtement : on s’y attendait. Reste à savoir qui y


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Attention à ne pas confondre Xavier Maréchal et Marion Bellamy ! par Modeste Schwartz

Attention à ne pas confondre Xavier Maréchal et Marion Bellamy ! par Modeste Schwartz

Parmi les partis/ramassis dont on peut espérer la disparition à court terme, il en est un (LR) cher au cœur du Figaro, qui en a longtemps assuré l’après-vente, avant de s’aligner sur le Maréchal Macron. Ce journal subventionné consacre donc un long papier aux convulsions pré-européennes du ramassis LR, qui, tout en plaçant beaucoup d’espoirs dans sa tête de liste Xavier Bellamy, redoute qu’il ne s’entende trop bien avec sa jumelle socio-politique et culturelle Marion Maréchal, qui conduira la li


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Immigration, bas carbone : Macron recule par peur de la grogne

Immigration, bas carbone : Macron recule par peur de la grogne

Cette semaine, la rumeur a circulé qu’Emmanuel Macron présenterait sa stratégie bas carbone au petit peuple le 18 septembre. Le Courrier a beaucoup insisté sur l’importance de ce rendez-vous en apparence technique, en particulier pour la vie quotidienne des Français. Rappelons que cette stratégie, qui imposera la « sobriété » a déjà été repoussée à cause des émeutes de juillet. Et patatras, on apprend que le rendez-vous du 18 septembre est reporté. Le dossier n’était pas prêt. Idem sur l’immigra


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Macron aux chefs de parti(e)s : ça va bien se passer ! Par Modeste Schwartz

Macron aux chefs de parti(e)s : ça va bien se passer ! Par Modeste Schwartz

Comme l’Initiative politique d’ampleur consiste en 100% de com’, on ne communiquera jamais assez à son propos. Comme avant tout match de boxe bien truqué, en amont de la réunion de mercredi, tous les champions ont déjà confié leurs pressentiments à la presse, mais l’arbitre juge-et-partie Macron juge malgré tout bon d’adresser, aux chefs de parti acceptant de participer à cette forfaiture, une lettre, dûment commentée elle aussi, et qui évoque étrangement les conventions SM.


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Passage des plats à Macron : Copé concurrence Ciotti, par Modeste Schwartz

Passage des plats à Macron : Copé concurrence Ciotti, par Modeste Schwartz

Pendant que des « petits jeunes » comme Ciotti, à la faveur de leur relative inexistence, pensent pouvoir tirer quelques bénéfices politiques personnels de l’absence de majorité, les galops posthumes de certains chevaux de retour (comme Sarkozy) donnent des ailes à d’autres vétérans : c’est le cas de Copé qui, en désavouant le coup de com’ récent de Sarko, semble caresser l’espoir d’une réincarnation en Ciotti bis.


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Le Darmanin : quand y en a plus, y en a encore, par Modeste Schwartz

Le Darmanin : quand y en a plus, y en a encore, par Modeste Schwartz

Ne pouvant plus simuler une vie démocratique, simulons au moins une vie de cour : soporifique dès juin, dégonflée en juillet, la farce de « l’alternative Darmanin » devrait (ou voudrait) pouvoir resservir. Tout cela ne se passe bien entendu dans aucun coin de ce monde réel totalement déserté par l’attention médiatique, mais dans les colonnes du Parisien, où un dernier presstitué espère pigeonner un dernier lecteur avant fermeture du ban.


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