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La négociation d’Istanbul entre Russie et Ukraine comme si vous y étiez, par Alexandre N.

La négociation d’Istanbul entre Russie et Ukraine comme si vous y étiez, par Alexandre N.

Proposée par Poutine, la négociation d’Istanbul n’a pas tourné comme l’espéraient les communicants occidentaux. Alexandre N. décortique pour nous le jeu de dupes qui s’est déroulé à Istanbul (on lira le détail de ce qui s’est passé dans les deux médias d’opinions opposée mais d’analyses largement convergentes sur l’événement : Simplicius the Thinker et The Insider ). Il le fait avec sa verve habituelle et sans aucune concession au discours idéologique ambiant. Âmes sensibles, s’abstenir : le jeu


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Lavrov à Kellogg: « Je ne suis pas un négociateur « corn flakes » », par Alexandre N.

Lavrov à Kellogg: « Je ne suis pas un négociateur « corn flakes » », par Alexandre N.

Aux dernières nouvelles, Sergueï Lavrov, qui avait d’abord été annoncé à Istanbul, ne serait pas dans la délégation russe. Cela veut-il dire que les Russes ne peuvent pas prendre au sérieux l’état d’esprit actuel des Ukrainiens et des Occidentaux? Dans ce billet d’humeur, notre ami Alexandre N. s’étonne, par exemple, des simplismes de l’analyse du Général Kellogg, l’un des deux négociateurs américains pour l’Ukraine. Il constate la terrible chute de niveau des experts et des négociateurs occiden


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Pourquoi on est encore loin d’un accord entre Américains et Russes – la preuve par Lavrov

Pourquoi on est encore loin d’un accord entre Américains et Russes – la preuve par Lavrov

Pendant que les dirigeants de l’Union Européenne s’excitent sur la volonté de paix en Ukraine du Président Trump, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov a expliqué à un média russe pourquoi son pays était encore loin d’avoir trouvé un accord avec les Etats-Unis. Il vaut la peine de lire les propos tenus par le ministre qui a travaillé le plus longtemps avec Vladimir Poutine (depuis 2004). La Russie ne souhaite pas seulement la fin de la guerre en Ukraine. Elle veut – et ne sig


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Ce qui s’est dit entre Américains et Russes, selon Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères

Ce qui s’est dit entre Américains et Russes, selon Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères

Voulez-vous savoir ce qui s’est dit à Riyad, lors de la rencontre entre les deux ministres des Affaires étrangères, américain et russe, Marco Rubio et Sergueï Lavrov? L’entretien accordé aux médias par le ministre russe est instructif et nous donne un premier aperçu. Il donne à comprendre que le chemin de la paix en Ukraine sera malaisé. Dans tous les cas, ce n’est pas le premier sujet traité entre Américains et Russes.


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L’Arabie Saoudite remplace l’Europe comme médiatrice: Russes et Américains ont négocié à Riyad

L’Arabie Saoudite remplace l’Europe comme médiatrice: Russes et Américains ont négocié à Riyad

La nature a horreur du vide. Puisque l’Europe a abandonné le rôle de médiatrice qu’elle avait eu, entre Américains et Soviétiques, durant la Guerre Froide (rappelons-nous l’exteraordinaire succession de médiateurs: de Gaulle, Willy Brandt, Margaret Thatcher, Jean-Paul II), c’est l’Arabie Saoudite qui la remplace Nous avons complètement oublié, en Europe, qu’il n’y a pas de « Guerre Froide » sans « Détente ». Pendant les quarante ans où a duré la première « Guerre Froide », il y a eu, régulièreme


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La Russie  humilie Macron en direct mais  pour les médias français il n’y a rien à voir!

La Russie humilie Macron en direct mais pour les médias français il n’y a rien à voir!

Un tir  direct  de la Russie sur une caserne où se trouvent des mercenaires français en Ukraine. Puis  une convocation de l’ambassadeur de France à Moscou.  Cela n’a pas fait  la une des médias français ou  n’a fait l’objet que de dénis. Et pourtant, le président français a été profondément humilié, en direct, aux yeux du monde.


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Guerre d’Ukraine: jour 408 -Les dirigeants occidentaux entre bataille immobile et pensée figée

Guerre d’Ukraine: jour 408 -Les dirigeants occidentaux entre bataille immobile et pensée figée

Nous sommes face à un paradoxe: la lenteur de la bataille devrait laisser aux dirigeants français et européens le temps de réfléchir. Pourtant, le voyage d’Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen en Chine se solde par un échec piteux du point de vue des grandioses objectifs diplomatiques affichés: il s’agissait de rien moins que d’amener Xi Jinping à Canossa après son voyage à Moscou. Mais pourquoi nous préoccuper de l’aveuglement volontaire ou consenti de nos dirigeants? Goûtons une conversatio


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