
Virginia Woolf et le changement climatique, par Nicolas Bonnal
Flaubert se moque dans sa correspondance (vers 1853 je crois) des débuts du changement climatique et de l’obsession météo : suite à un orage le préfet intervient (voyez mon texte). Aujourd’hui le couillon éternellement satisfait du corps électoral et téléphage (il ne faut pas le combattre, il faut le