Pour les mondialistes, la nation c’est mal, sauf quand c’est l’Ukraine! – Par Jean Goychman
Jean Goychman souligne le paradoxe d'un Occident post-national qui redécouvre, avec l'Ukraine, les vertus de la nation et des frontières. Voici plusieurs décennies qu’on veut à tout prix nous imposer une Europe fédérale, supra-nationale même, et toutes les raisons étaient bonnes pour nous démontrer que les nations, c’était ringard, c’était la guerre, c’était (insulte suprême) populiste. L’avenir était dans de vastes ensembles sans frontières, de grands espaces de liberté dans lesquels des gens
CDS