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Les ennuis arrivent toujours par où on ne les attend pas. Alors que le gouvernement est (à juste titre) focalisé sur la réforme des retraites, l’opposition est parvenue hier à créer une brèche dans le dispositif de la majorité en adoptant la proposition socialiste de loi sur la nationalisation d’EDF. Les députés Renaissance, lorsqu’ils ont compris qu’ils seraient battus, ont ostensiblement quitté l’hémicycle, laissant la voie libre à un vote qui crée un précédent tout à fait intéressant : l’Asse
 
        Éric Verhaeghe
 
       
    
     
       
       
      