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Le 7 février dernier, une victime d’effets secondaires graves avait saisi le conseil d’Etat afin de suspendre les dispositions du décret imposant la 3e dose. Olivier Véran avait enfin reconnu à cette occasion l’existence d’effets secondaires graves liés à la vaccination, ce qui n’a cependant pas suffit à convaincre le Conseil d’Etat de suspendre le décret en question. Seule petite victoire : il est possible d’obtenir un certificat de contre-indication à la vaccination en cas d’effets secondaires
 
        Rédaction
 
       
    
     
       
       
       
       
      