La censure de Bruxelles repose sur un nouveau système d’espionnage, par Ulrike Reisner
Les protestations persistantes en France ou en Allemagne constituent une menace pour les élites de l’UE. Le mécontentement a atteint la classe moyenne et donc le pilier de l’économie nationale. L’artillerie à Bruxelles s’alourdit. Le Digital Service Act établit de nouvelles autorités et un système d’espionnage moderne pour lutter contre les informations indésirables. Le « discours de haine », quoi que l’on entende par-là, sera désormais un « crime de l’UE ». Cette division de la société coûtera
Rédaction