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En jouant les fiers à bras, quand Macron tel un matamore promet une réponse militaire à la junte au pouvoir à Niamey et soutient (ou même pire, suggère) l’ultimatum de la CEDEAO, refuse que son armée quitte le pays. Il met son adversaire en position de fourchette, tel aux échecs : posture où le prochain coup de son adversaire va obligatoirement lui infliger un revers stratégique majeur, lui prendre un ou deux pièces maîtresses. Dans le cas d’espèce, à tous les coups, lui infliger une humiliation
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