crise politique


La crise politique est arrivée, par Yves-Marie Adeline

La crise politique est arrivée, par Yves-Marie Adeline

Comme nous l’avions prévu dans notre article paru au lendemain de la dissolution, les élections législatives n’ont pas réussi à produire une majorité de gouvernement, et nous allons bel et bien entrer dans une crise politique majeure. A tout hasard, dans le corps de l’article, nous nous étions quand même soumis à un exercice de conjectures, pour le cas où notre prédiction aurait mérité quelques corrections, mais non, il faut s’en tenir au pronostic.


Rédaction

Rédaction

Le RN triomphe, la crise politique commence

Le RN triomphe, la crise politique commence

Les résultats aux élections législatives continuaient encore à tomber à l’heure où nous rédigions ces lignes. Une évidence se dégage : le Rassemblement national a remporté une victoire historique et peut désormais caresser l’espoir de décrocher une majorité absolue. On aurait pu penser que cette perspective soulagerait la crise politique ouverte par la dissolution de l’Assemblée Nationale. Mais en fait non… la crise commence, et promet un été déchiré par de nombreuses contradictions, à peu près


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Les législatives vont-elles conduire à une crise politique majeure ? par Yves-Marie Adeline

Les législatives vont-elles conduire à une crise politique majeure ? par Yves-Marie Adeline

Le plus probable est qu’aucun parti, ni même aucune coalition, ne réussisse à atteindre une majorité absolue. Ainsi, une assemblée de nouveau éclatée ne résoudrait rien, la seule différence, peut-être, serait que la droite y pèserait plus lourd, mais sans être capable de peser de manière décisive. Le Gouvernement continuerait donc à gouverner par ordonnances.


courrier-strateges

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Ce 22 juin Jupiter a prononcé une allocution en apesanteur

Ce 22 juin Jupiter a prononcé une allocution en apesanteur

D'un quinquennat à l'autre, Jupiter se renouvelle, il vient de prononcer une allocution...en apesanteur totale. Une fois que l'on a fait la part de la mise en scène d'un nouveau style - le président qui dialogue - il n'a été question ni de la dette abyssale, ni de l'inflation, ni de la guerre d'Ukraine. En fait, Emmanuel Macron a cherché à gagner du temps, à repousser l'inéluctable crise politique qui vient, et dans laquelle il espère pouvoir se servir du mondialisme occidental comme d'un levier


CDS

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