comptes publics


Le dilettante Macron mène la France à la faillite, et tout le monde s’en moque

Le dilettante Macron mène la France à la faillite, et tout le monde s’en moque

Evidemment, les questions de finances publiques, de dette, de monnaie, ennuient tout le monde. Il n’en demeure pas moins que la dérive dans les comptes de l’Etat observée avec le trio de choc Macron, Attal et Le Maire est tout sauf un problème mineur. Alors qu’il faudrait un plan d’économies au minimum de 70 milliards pour retrouver notre ligne de flottaison, le gouvernement n’annonce aucune réforme de structure suffisante pour atteindre l’objectif. Bref, Macron compte sur l’opération du Saint-E


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Impôts : comment réagir aux scandaleux mensonges de Bruno Le Maire

Impôts : comment réagir aux scandaleux mensonges de Bruno Le Maire

Officiellement, les impôts n’augmentent pas… Sauf que, depuis la fin du COVID, la pression fiscale sur les particuliers explose ! Et, la situation des comptes publics ne cesse de se dégrader, sous l’effet d’une propension de la bureaucratie à dépenser toujours plus, à tort et à travers. Le Sénat a d’ailleurs entrepris de démontrer les mensonges de Bruno Le Maire sur la situation réelle de nos comptes publics. Face aux mensonges d’Etat, sommes-nous condamnés à subir ?


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Le Maire et l’austérité : 7 ans de recul coupable devant la bureaucratie proliférante

Le Maire et l’austérité : 7 ans de recul coupable devant la bureaucratie proliférante

Piteux, Bruno Le Maire a expliqué dans le poste, hier, qu’il préparait un plan d’économies par voie « réglementaire » à hauteur de 10 milliards, pour compenser la stagnation économique (la croissance devrait tomber à 1% au lieu des 1,4% imprudemment retenus en septembre pour le budget 2024). Mais tout n’est pas encore très clair, et on sent beaucoup d’improvisation dans ces annonces. Visiblement, 5 milliards seraient prélevés sur le budget de fonctionnement des administrations de l’Etat. 5 autre


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

ALERTE : les comptes publics français en pleine implosion

ALERTE : les comptes publics français en pleine implosion

Même si la note de la France n’a pas été dégradée par l’agence Standard & Poors, comme le cartel de la presse subventionnée semblait l’annoncer (rumeur que nous n’avons pas relayée…), les comptes publics sont dans une situation calamiteuse. Nous en donnons l’illustration aujourd’hui. Sans oublier la très significative baisse d’exposition au risque des dettes souveraines dans les compagnies d’assurance de la zone euro, qui est, en soi, un indice d’une crise à venir.


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Assurance-chômage : l’Etat encore et toujours dans l’injonction paradoxale « néo-libérale »

Assurance-chômage : l’Etat encore et toujours dans l’injonction paradoxale « néo-libérale »

La réforme de l’assurance-chômage est devenue la seconde arlésienne du gouvernement, après la réforme des retraites. Le dossier revient sur la table tous les six mois… et son application est sans cesse reportée. Lancée début 2018, cette réforme n’a toujours pas abouti 3 ans plus tard. Mais il est vrai que, le temps passant, elle se charge sans cesse de nouvelles injonctions paradoxales qui rendent son application impossible. En voici la liste, qui méritera d’être actualisée régulièrement… au tra


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

????Angoisse : les comptes publics se dégradent bien plus que prévu

L’angoisse monte discrètement au sein du gouvernement : les comptes publics se dégradent beaucoup plus vite que prévu, et dans des proportions très importantes. Il est pour l’instant trop tôt pour connaître l’atterrissage final. Mais si la tendance se confirme, la situation à la fin de 2020 sera vraiment beaucoup plus problématique que Bercy ne l’avait anticipé. Les comptes publics sont en très mauvais état, et même dans une situation beaucoup plus grave que prévu. Il fallait capter une confide


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

Castex, ou le retour du radical-socialisme dépensier

Castex, ou le retour du radical-socialisme dépensier

Avec Jean Castex, le radical-socialisme dépensier est de retour. Le discours de politique générale a permis d’entendre des promesses agréables pour tout le monde, avec des masses de dépenses nouvelles. Le plan est chiffré à 100 milliards (sur trois ans), dont 40 pour l’industrie, 40 pour le social, et 20 pour la transition écologique. On en revient à ce bon vieux radical-socialisme dépensier qui avait ruiné le pays durant l’entre-deux-guerres. On est revenu au bon vieux radical-socialisme de la


Éric Verhaeghe

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