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  En 1995, à l’hôtel Fairmont de San Francisco, s’est tenue une conférence réunissant plus de cinq cents participants, parmi tout ce qui comptait dans le gratin politique, financier et médiatique de l’époque. Plus connue aujourd’hui sous l’appellation de « Conférence des huit-dixièmes », elle avait pour thème l’employabilité de la classe productive mondiale en 2050. Après trois jours d’intense réflexion, cet aréopage avait estimé que seuls 20% des gens qui composaient cette classe productive aura
Rédaction
 
      Jean Goychman nous propose une relecture de la géopolitique mondiale depuis 1945. Tout se passe, en effet, comme si les Occidentaux n'avaient pas voulu envisager 1989-1991 comme une fin de cycle (la guerre froide) mais comme un simple jalon dans une histoire inachevée, celle de la destruction de la puissance russe et de la marche des USA vers la domination en Eurasie. Dans son discours du 30 septembre, Vladimir Poutine est allé au fond des choses. Depuis plus d’un siècle, un plan longuement éla
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      En s'appuyant sur son immense érudition, Nicolas Bonnal nous explique pourquoi le Grand Reset a commencé dans les années 1970 et comment il est entré dans sa phase finale. Le Grand Reset est imaginé au début des années 1970 Il y a ceux, presque mignons et amusants, comme les journalistes du NYT, qui prétendent que le Grand Reset est une théorie du complot, alors que Davos s’en vante benoîtement sur son site, et puis il y a ceux qui redoutent le Grand Reset à venir, comme s’il n’était déjà là.
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  On associe le plus souvent des conclusions fatalistes à la notion "d'Etats profond". Pour le trentième anniversaire du Traité de Maastricht - qui a lié notre pays plus que de raison à l'OTAN - Jean Goychman montre que l'histoire n'est jamais écrite. Actuellement, le scénario le plus probable est que, le Deep State n'ayant pas réussi son KO, se mette en place un CHAOS profond. Nous vivons une période où l’Histoire s’accélère. Les plans concoctés à l’avance dans l’atmosphère feutrée des bureaux d
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  Nous publions la version française d'un article de Nicolas Bonnal qui était paru en langue anglaise en février 2014, quelques jours après le coup de Maïdan à Kiev. Le texte n'a pas pris une ride. Le désastre ukrainien, épouvantable et quelque peu insensé, mérite une explication : Zbigniew Brzezinski. Cet expert américain en géopolitique, né en Pologne, mérite en effet d’être lu comme Adolf Hitler, qui a diabolisé la Russie en son temps, comme le fait aujourd’hui le « général » bouffon McCain. I
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  L’expression est de Georges Nivat, le traducteur d’Alexandre Soljenitsyne, et elle date de 2016. Elle résume très bien notre histoire séculaire : Charles XII de Suède puis Napoléon puis Hitler puis les autres (le complexe Biden-BHL-Leyen) tentent d’abattre le monstre croquemitaine de cette bonne vieille Histoire universelle. Elle résume très bien l’atmosphère du jour : la Russie seule contre tout le monde ou presque, avec l’empire américain et ses colonies, l’Europe apeurée et le reste du monde
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