Jacques Attali vient de livrer un post de blog particulièrement amusant : il confirme en tous points les avertissements que nous avons lancés aux épargnants après la faillite récente de la Silicon Valley Bank aux Etats-Unis. Une crise obligataire majeure se prépare, liée à la dédollarisation, dont nous parlons souvent dans le Courrier. Manifestement contaminé par les complotistes, Jacques Attali se met lui aussi à pronostiquer ce phénomène… pour cet été, exactement comme nous l’avons annoncé. Si
Éric Verhaeghe
Après Attali, DSK : c’est tout l’EHPAD du mondialisme PS qui vient se pencher sur le lit du vieux avant l’âge Macron, qui nous fait une mauvaise crise des retraites. Son diagnostic restant incertain, en attendant, c’est l’occasion d’offrir aux vieilles sommités un dernier tour de manège.
CDS
La sortie apparemment anti-Macron de Jacques Attali sur les retraites, tout en empathie et en « pénibilité », au micro de BMFTV, fait beaucoup jaser. Et donne facilement des idées folles à ceux qui n’ont pas encore compris que, au sein de la Macronie, tous les chemins mènent à Davos.
CDS
J'avais manqué l'article, scandaleux, où Jacques Attali, évoque le spectre d'une guerre franco-allemande. L'ancien conseiller de François Mitterrand joue à nous faire peur. Alors il faut le dire bien clairement: non, la France et l'Allemagne, n'ont aucune raison de "se faire la guerre". Elles se connaissent moins bien qu'il y a un demi-siècle, on apprend moins dans les deux pays la langue de l'autre et les deux sociétés ont développé une forme d'indifférence l'une envers l'autre? Cela veut dire
CDS
Jacques Attali a livré un tweet tout en nuance sur le possible retour de Trump au pouvoir en 2025, qui en dit long sur les angoisses qui habitent et occupent la caste mondialisée. Bien sûr, il y a la guerre en Ukraine, les crises alimentaires mondiales, le sauvetage de la planète. Mais surtout, il y a le retour de Trump, la menace numéro un qui pèse sur la mondialisation. On ne peut rien comprendre à notre époque, si l’on ne comprend pas la peur qui s’empare de la caste face au trumpisme. L’Eur
Éric Verhaeghe
L’Arabie Saoudite est un pays qui ne manque pas de ressources pour les élites occidentales. Les éminences françaises en font partie. Et on peut faire confiance aux Saoudiens pour tirer le meilleur parti de cet avantage comparatif appelé « la rente pétrolière », qui leur permet de financer largement les tocades des décideurs occidentaux. Cette fois, Jacques Attali et François Fillon sont pris la main dans le pot de confiture. L’Arabie Saoudite sait organiser habilement son lobbying en Occident.
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