Chaque rentrée, sur les trottoirs de Lille, on trouve, à la Grande Braderie, tout ce que le pays a de moins précieux (quoique souvent malgré tout cher) et de plus encombrant – à commencer par la brochette presque intégrale de l’engeance politicarde, quittant pour quelques heures son Paris douillet, histoire de « faire peuple ».

 
       
    
     
   
       
         
       
       
      