Gabriel Attal rêve de pouvoir voler de ses propres ailes, après une série d’humiliations, notamment sur les questions budgétaires, infligées à la fois par Emmanuel Macron et Bruno Le Maire. Il vient de prononcer un discours tonitruant sur le retour de l’autorité à l’école, sujet sur lequel on pourrait l’approuver. Problème : ses idées sont à rebours des principes dont il a bénéficié au sein de la très élitiste Ecole Alsacienne, « école inclusive » paraît-il, qui se goberge de principes bienveillants. Le Premier Ministre incarne à merveille ce fils à papa pistonné et servile, qui entend bien ne pas partager le gâteau qu’il avale goulument depuis sa plus tendre enfance.

 
       
    
     
   
       
       
       
      