Gabriel Attal doit, cette après-midi, faire ses premières annonces pour répondre aux revendications de la FNSEA agitées avec des mouvements paysans dans l’ensemble du pays. Mais la FNSEA contrôle-t-elle encore un mouvement qui commence à la contester ? Attal a-t-il trop tardé à réagir, en accordant une confiance excessive aux cénacles parisiens qui lui ont conseillé de temporiser pour apparaître comme un grand dirigeant maître de ses nerfs ? L’évolution de la situation dans les heures qui viennent va le dire. Mais il y a peut-être bien du souci à se faire.

 
       
    
     
   
       
       
         
       
       
        