Amis de la liberté : cessez d'être les idiots utiles du système, faites sécession !

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La démocratie parlementaire se meurt dans le jeu des partis. Mais sommes-nous impuissants face à ce naufrage ? Et sommes-nous vraiment condamnés à attendre les prochaines élections ?

Soyons lucides. La France n’est pas une démocratie libérale ; c’est un Moloch administratif, une machine à broyer l’individu sous le poids de la norme, de la taxe et de la morale collective. Depuis des décennies, les libertariens français s’épuisent dans un combat politique qui ressemble à une farce tragique. Ils quémandent quelques miettes de liberté à un système conçu, de A à Z, pour les annihiler.

La vraie résistance aujourd'hui ne se trouve pas dans les hémicycles, mais dans le chiffrement de vos communications, dans la sécurisation de votre épargne via les cryptomonnaies, dans le développement de réseaux d’échanges volontaires qui échappent au radar fiscal et administratif. C’est la contre-économie : le marché libre des individus souverains contre l’économie planifiée des technocrates.

Eric Verhaeghe

Il est temps de regarder la réalité en face : le jeu partisan est truqué. L’étatisme est l’opium du peuple français, et nos élites, de l'extrême-gauche à l'extrême-droite, ne sont que les dealers zélés de cette drogue collective. Macron, Le Pen, Mélenchon ? Ce sont les visages interchangeables de la même hydre bureaucratique. Croire qu’un bulletin de vote changera cette réalité relève, au mieux de la naïveté, au pire de la complicité.

L’illusion électorale, ce piège mortel

Chaque participation à une élection est une légitimation du système. Chaque euro dépensé dans une campagne est un euro qui ne sert pas à construire une alternative réelle. Les partis "populistes" ou libéraux-conservateurs ne sont que des soupapes de sécurité pour le régime. Ils canalisent la colère, domestiquent la dissidence, et finissent invariablement par se coucher devant le consensus étatiste pour exister médiatiquement.

Noël, invention chrétienne ou païenne ? par Thibault de Varenne

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Chaque année, au seuil du solstice, les peuples d’Europe rallument les feux de la mémoire. Les cloches sonnent, les foyers s’illuminent, et l’on se demande : Noël est-il une fête chrétienne, née de la célébration de la Nativité, ou bien l’héritière de rites païens que l’Église aurait recouverts de son manteau sacré ? La réponse exige une enquête à la fois linguistique, historique et religieuse. L’étymologie du mot « Noël » : une origine chrétienne indéniable Le mot Noël provient du latin nata


Rédaction

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Noël, étrennes : comment, en pratique, donner de l’argent à ses proches ?

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En cette période de fêtes, la générosité est de mise. Mais attention : entre le chèque glissé sous le sapin et le virement « coup de pouce », la frontière pour le fisc est parfois poreuse. Dès le 1er janvier 2026, les règlesse durcissent en effet avec une obligation de déclaration en ligne. Il est temps de mettre les points sur les "i" pour donner… sans se faire épingler. Pour tout abonnement d’un an au Courrier des Stratèges souscrit entre le vendredi 19 décembre 18h et le lundi 22 décembre 1


FLORENT MACHABERT

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Tech française : le grand enfermement fiscal de 2026, par Vincent Clairmont

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On nous avait promis la « Start-up Nation », l’eldorado des licornes et le rayonnement de la French Tech. Mais en cette fin d'année 2025, le réveil est brutal pour les fondateurs. Derrière les paillettes des salons Vivatech de jadis, la réalité comptable s'impose : la souricière fiscale française vient de se refermer. Pour l’entrepreneur qui envisageait de prendre le large, la question n’est plus de savoir où partir, mais si l’État lui en laissera véritablement le droit sans le dépouiller au pa


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Entrepreneurs, où s’expatrier en 2026 ? par Vincent Clairmont

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En 2026, la France reste un champion incontesté… de la pression fiscale. Avec un taux marginal d’imposition à 45 %, des prélèvements sociaux à 17,2 %, et une complexité administrative qui ferait pâlir un inspecteur des finances, les entrepreneurs tricolores sont de plus en plus tentés par l’expatriation. Mais attention : quitter le navire ne s’improvise pas. Entre les pièges de l’exit tax (voir mon article du jour sur le sujet), les conventions fiscales internationales et la nécessité de "subst


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