Vaccination obligatoire : l’immense fiasco que les autorités refusent d’admettre

Vaccination obligatoire : l’immense fiasco que les autorités refusent d’admettre


Partager cet article

Une nouvelle étude démontre que la vaccination obligatoire imposée dans les villes américaines n’ont pratiquement pas augmenté les taux de vaccination ni amélioré les résultats sanitaires. Une preuve supplémentaire du naufrage politique d’une coercition sanitaire imposée contre toute rationalité scientifique.

Une nouvelle étude publiée dans Contemporary Economic Policy vient de réveler que la vaccination obligatoire imposée par l'administration Biden dans plusieurs grandes villes américaines n’a produit aucun bénéfice tangible. Ces résultats sonnent comme un aveu d'échec cinglant pour une politique intrusive. Ces mesures coercitives n’auront servi qu’à restreindre les libertés individuelles, érigeant la contrainte en principe de gouvernance.

Une stratégie mise en place quand la population était déjà vaccinée

Selon l'étude publiée dans Contemporary Economic Policy, les villes américaines ayant imposé les passes sanitaires et les obligations vaccinales n’ont « pas constamment conduit à des taux de vaccination plus élevés ou à des résultats améliorés de la COVID-19 ».

Aucune preuve d'une augmentation des premières doses, ni d'une réduction significative des cas ou des décès n'a été observée dans les neuf villes étudiées. Si l'objectif était sanitaire, c'est un échec.

USA: lancement des vaccins ARNm « plus efficaces » et « moins chers » malgré la polémique sur les effets secondaires
L’Université de Pittsburgh vient de publier une étude dans la revue NPJ Vaccines sur l’amélioration des vaccins à ARNm, en

Le principe de précaution, si souvent invoqué, aurait dû s’appliquer à la politique elle-même : ne pas imposer une restriction de liberté dont l’efficacité n’était pas démontrée. L'administration Biden a pourtant fait l'inverse, faisant preuve d'un autoritarisme expérimental.

Les auteurs constatent également que ces "mandats", contrairement à ceux appliqués de manière nationale dans d’autres pays, étaient facilement contournables : il suffisait de changer de quartier ou de traverser la ville voisine.

Alors, à quoi ont servi ces mesures ? Si elles n'ont pas sauvé de vies, elles ont imposé une logique de contrôle.

La coercition, seul principe constant

À New York, des milliers de travailleurs ont été licenciés pour avoir refusé le vaccin. Des restaurants ont vu leur clientèle s'évaporer. Le prix de la liberté individuelle a été une mise à l'écart sociale et économique.

Des milliers de restaurants ont perdu leurs clients, et l’économie locale a subi une chute évitable , tout cela pour des résultats sanitaires indétectables selon l’étude. Les autorités, relayées par les médias, ont présenté les vaccins comme la seule voie possible pour sortir de la crise. Pourtant, l’efficacité réelle contre la transmission s’est effritée très tôt.
La logique du "tout vaccinal" a persisté malgré :

  • la diminution rapide de la protection,
  • les questions ouvertes sur les effets secondaires,
  • l’absence de bénéfice collectif observable dans les données.

L'échec de ces politiques soulève une question essentielle : à quoi a servi la vaccination obligatoire si elle n'est pas parvenu à augmenter l'immunisation ni à freiner les vagues de contamination ?

L'efficacité des vaccins à ARNm continue à susciter la controverse. Le débat est d’autant plus vif que les effets secondaires de ces injections Pfizer et Moderna commencent à être documentés, parfois de manière inquiétante, des effets secondaires que l'on a trop longtemps cherché à minimiser.

Pourtant, malgré ces doutes scientifiques, nos autorités sanitaires ont toujours maintenu le cap, refusant de s'interroger sur la pertinence d'une stratégie désormais contredite par les faits.


Partager cet article
Commentaires

S'abonner au Courrier des Stratèges

Abonnez-vous gratuitement à la newsletter pour ne rien manquer de l'actualité.

Abonnement en cours...
You've been subscribed!
Quelque chose s'est mal passé
Emmanuel Grégoire, enfin un candidat qui assume la soviétisation de Paris, par Veerle Daens !

Emmanuel Grégoire, enfin un candidat qui assume la soviétisation de Paris, par Veerle Daens !

Il faut reconnaître à Emmanuel Grégoire une qualité que sa mentor n'avait pas : la clarté. Là où Anne Hidalgo maquillait son idéologie derrière des concepts flous de "ville du quart d'heure" ou de "bienveillance" inclusive, son ancien premier adjoint a décidé de tomber le masque. Avec ses dernières propositions pour le commerce parisien, le vernis social-démocrate craque enfin pour révéler ce qui grouillait dessous depuis une décennie : une pulsion dirigiste brute, un collectivisme décomplexé. B


CDS

CDS

Marseille, Le Havre : la troublante géographie du narcotrafic sous Macron

Marseille, Le Havre : la troublante géographie du narcotrafic sous Macron

Les larmes qui coulent à Marseille ont le goût amer de l'impuissance. Cette semaine encore, une mère, la maman Kessaci, enterrait son fils, une victime collatérale de plus dans cette guerre urbaine que l'État ne semble plus vouloir, ou pouvoir, gagner. Dans les quartiers Nord, le ballet des obsèques rythme désormais le quotidien, sous le regard distant d'une République qui préfère compter ses points de PIB plutôt que ses morts. Ce drame humain n'est que la partie visible d'un système monstr


Éric Verhaeghe

Éric Verhaeghe

L'IA brise le monopole éducatif, l'avenir aux autodidactes, par Eric Lemaire

L'IA brise le monopole éducatif, l'avenir aux autodidactes, par Eric Lemaire

Je ne m’attendais pas à ce que trois événements du quotidien, très ordinaires en apparence, m’ouvrent brusquement les yeux sur l’ampleur du bouleversement en cours. Le premier : un dirigeant de SSII, un vétéran du service informatique, m’annonce sans détour qu’il va réduire de 80 % ses recrutements de jeunes diplômés. La raison ? L’intelligence artificielle, qui lui permet de faire en quelques heures ce que ses équipes mettaient des jours à produire. C’est transitoire, mais très significatif. L


Rédaction

Rédaction

Rachida Dati et le trésor caché des poubelles parisiennes, par Veerle Daens

Rachida Dati et le trésor caché des poubelles parisiennes, par Veerle Daens

Il faut saluer l’artiste. Dans le grand théâtre de la communication politique, on pensait avoir épuisé le répertoire : le ministre de l’Agriculture tâtant le flanc des vaches avec un air entendu, le premier ministre enfilant un casque de chantier un peu trop grand. Mais Rachida Dati, Ministre de la Culture, en plein exercice de ramassage d’ordures dans les rues de Paris ? C’est une performance qui frôle l'avant-garde. Avec moi, Paris sera propre! 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. Les Parisien


CDS

CDS