A Genève, la semaine dernière, les autorités russes déclaraient leur amour à l’OMS, en dépit de ses rebuffades, et chantaient les louanges de la Chine. Cette même OMS, en revanche, dans les publications qu’elle consacre à son splendide traité pandémique en préparation, se rapproche dangereusement des thèses alter-covidistes de « l’origine artificielle ». Décryptage.

 
       
    
     
   
       
         
       
       
         
      