Retraites : la grande spoliation continue, cachée derrière une taxe sur votre santé
Le rideau tombe sur un nouvel acte de la tragicomédie française, cette pièce interminable où l'État, bouffi d'impuissance et de suffisance, prétend réformer ce qu'il n'ose même plus nommer. La réforme des retraites, ce serpent de mer qui terrorise les gouvernements successifs depuis trente ans, est officiellement "suspendue". Reportée aux calendes grecques, ou plus précisément à 2028. Un soulagement ? Ne vous y trompez pas. C'est un leurre, une manœuvre dilatoire grossière qui masque une opé
Éric Verhaeghe