La Macronie (c’est-à-dire la République terminale), c’est, comme le catholicisme terminal de François, une dure lutte du Bien (comprendre : l’Amour, illustré par les œillades enamourées du « couple présidentiel », dont se pâme la presse people) contre le Mal – défini par Bergoglio lui-même comme l’ensemble des « passions tristes ».

 
       
    
     
   
       
       
         
       
      