Macron : Néron pour Der Spiegel, Potemkine au bled, par Modeste Schwartz

Macron : Néron pour Der Spiegel, Potemkine au bled, par Modeste Schwartz

Gentil organisateur du Club Med de l’Eurogoulag, Macron se retrouve promu au rang de Néron par le dépit boche. Confronté à la vacance du pouvoir dans une Allemagne gérée par une coalition dysfonctionnelle, Macron – qui ne demandait pourtant qu’à collaborer – a fini par prendre l’initiative, sous la forme d’un voyage en Chine dont les détails ont préalablement été mis au point avec Washington seulement (et non avec Berlin ou avec sa buanderie bruxelloise). Du coup, on peut comprendre que l’Etat profond allemand – qui l’a pourtant bien cherché – se sente un peu lésé, et ordonne à tel ou tel casque à plume de pourrir le mari de Brigitte, traité de « Néron » dans Der Spiegel.