Les cas de myocardite post-vaccination ARNm ne sont plus un secret. Des chercheurs de Stanford ont décrypté le mécanisme biologique derrière cette inflammation cardiaque, confirmant ce que les données suédoises, norvégiennes et autres suggéraient déjà. Malheureusement, ces effets secondaires n’ont eu aucune incidence sur la suite de la campagne de vaccination. Les autorités sanitaires ont continué de naviguer entre minimisation des risques et poursuite d'une campagne massive, interrogeant la liberté de choix éclairé des citoyens.

Dans un contexte où les campagnes de vaccination contre le COVID-19 ont été imposées avec une ferveur quasi-religieuse par les États, une nouvelle étude de l'université de Stanford met en lumière les mécanismes biologiques derrière les cas de myocardite post-vaccinale. Publiée récemment, cette recherche expose comment le système immunitaire, surstimulé par les vaccins à ARNm, peut provoquer une inflammation cardiaque temporaire mais alarmante. Alors que les agences sanitaires minimisent ces effets comme "rares et non graves", les faits s'accumulent, remettant en question la transparence et la légitimité de ces politiques interventionnistes qui foulent aux pieds la liberté individuelle.

Une recherche expliquant le processus
Une équipe de chercheurs de Stanford Medicine dirigée par le cardiologue Joseph Wu a mené une recherche sur les cas d’inflammation cardiaque signalés après réception d’un vaccin anti-Covid à ARNm chez les jeunes hommes.
Pour réaliser les travaux, les chercheurs ont comparé les échantillons sanguins des personnes vaccinées qui ont développé une myocardite avec ceux de personnes non vaccinées. Ils ont alors découvert chez les individus atteints de l’infection deux signaux immunitaires qui irritent les cellules cardiaques. Ils sont activés par deux types de cellules immunitaires suite à une exposition au vaccin.

Les chercheurs ont réalisé des tests sur des souris et sur des cultures cellulaires de cellules cardiaques humaines pour confirmer le processus. Ils ont alors constaté qu’en bloquant les deux signaux immunitaires, il est possible de réduire le risque d’inflammation cardiaque.
Les chercheurs ont également exploré la piste d’un composé anti-inflammatoire : la génistéine, issue du soja. Sous une forme purifiée, elle a permis de réduire les réactions inflammatoires observées en laboratoire, tout en préservant la réponse immunitaire associée à la vaccination.
Si cette piste n’en est qu’à ses débuts, elle ouvre la voie à des formulations vaccinales ARNm potentiellement mieux tolérées à l’avenir.
Des effets secondaires confirmés… mais une communication institutionnelle rigide
Parmi les dizaines de milliers de signalements d’effets secondaires, seules les myocardites/péricardites et l’hypertension artérielle sont pour l’instant confirmées comme directement liées aux vaccins. D’autres restent en surveillance.
Plusieurs pays (Suède, Finlande, Norvège, Danemark , la France...) ont d’ailleurs suspendu temporairement le vaccin Moderna chez les moins de 30 ans, par principe de précaution, fin 2021.
Au Courrier des Stratèges, nous avions déjà relevé les données publiées par l’Agence britannique de sécurité sanitaire en 2022 montrant une dégradation notable des marqueurs immunitaires , un syndrome proche du SIDA.chez les jeunes recevant plusieurs doses successives. D'autres avancent la théorie des « turbo-cancers », suggérant que les vaccins à ARN messager pourraient déclencher ou accélérer la survenue de cancers.Ces alertes n’ont pourtant pas modifié la stratégie vaccinale.

L'étude de Stanford est une avancée scientifique qui devrait servir à concevoir de futurs vaccins ARNm plus sûrs. Mais elle est aussi une confirmation amère pour ceux qui dénoncent l'opacité et le manque de prudence dans la gestion de la crise sanitaire.
Dans une optique libertarienne, le maintien d'une vaccination de masse sans une évaluation individuelle des risques-bénéfices, et sans une transparence totale sur les effets secondaires avérés, contredit le principe fondamental de l'autonomie corporelle.



