Hôpital public: jusqu’à ce que la mort nous sépare ? par Modeste Schwartz

C’est déjà une routine : on ne s’étonne plus vraiment d’apprendre qu’un énième patient est mort hier dans les couloirs d’un CHU à Grenoble, après trois jours d’attente aux urgences. En se proposant de « sauver l’hôpital public » sur la revente des vieilles robes de Nana Mouskouri, le Brigitteland en reconnaît d’ailleurs implicitement la vraie nature – sans toutefois en énoncer le vrai nom, qui est : la Charité.
