On a bien noté la panique du gouvernement face à la dégradation inattendue des comptes publics. Alors que Bruno Le Maire, qui a caché depuis l’automne la gravité de la situation, s’obstine à dénoncer toute hausse d’impôts, Gabriel Attal fourbit ses armes pour procéder à ces hausses juste après les élections européennes. Il vient de « confier les clés du camion » à une troïka de députés dont l’un est un partisan farouche de l’augmentation des prélèvements sur les dividendes. Les entrepreneurs devraient payer l’addition.

 
       
    
     
       
       
         
       
       
        