Charles de Courson, tonton flingueur de la Macronie, par Modeste Schwartz

Sous l’influence de l’illusion jeuniste, on attendait « la relève ». Or c’est du doyen de l’Assemblée, Charles de Courson, que vient, pour Macron, le danger le plus sérieux. Rares étant ceux qui ont su tirer les leçons du très significatif épisode Martine Wonner, tout le monde visionnait, pour abattre le faussement jeune Manu, des poulains tout piaffant de vigueur juvénile, à la Quatennens, à la Bardella.
