Ce que Véran n’a pas osé vous dire en face sur le danger des vaccins

Ce que Véran n’a pas osé vous dire en face sur le danger des vaccins


Partager cet article

Le danger des vaccins est le grand tabou de la communication gouvernementale. Il n’est en effet pas facile d’expliquer qu’on s’apprête à sacrifier consciemment une partie de sa population pour satisfaire à un programme d’obligation vaccinale dont chaque jour montre qu’il n’est pas exempt de calculs économiques. Donc, officiellement, c’est du circuler, y a rien à voir ! les vaccins sont sûrs ! Sauf que… la communication gouvernementale laisse transpirer de terribles aveux sur les sacrifices qui se préparent. Il est désormais de notre devoir de les relever et de les porter à la connaissance du public, égarés par des médias subventionnés aux ordres.

Les dangers des vaccins, vous le remarquerez, ne sont que très mollement niés par le gouvernement. On ne trouvera (étonnamment) nulle part une campagne claire pour « rassurer », ce qui est en soi à la fois l’une des explications du malaise actuel de la société française, et l’un des plus terribles aveux de cynisme commis par l’équipe de guignols au pouvoir.

Ce silence gêné du gouvernement sur les dangers du vaccin s’explique assez simplement par le fait que personne, dans les allées du pouvoir, ne doute de la nocivité des produits que les Français sont supposés se faire inoculer dans une obéissance aveugle.

Quand la loi reconnaît les dangers des vaccins

Aucun journaliste subventionné (trop occupé à dénoncer les complots sans doute) n’a pris le temps de le noter, mais la loi du 5 août 2021 ne comporte aucune ambiguïté sur les dangers des vaccins. Son article 18 écrit ceci :

La loi a donc pris soin de régler la question de la « réparation intégrale des préjudices directement imputables » aux vaccins que les soignants vont recevoir pour le bien du groupe, de la société et de l’immunité collective. Elle annonce, de façon « classique », dirait-on, que les réparations seront décidées par l’Office national d’indemnisation des accidents médicaux, des affections iatrogènes et des infections nosocomiales, qui est un établissement public en charge des accidents médicaux.

Autrement dit, c’est l’Etat qui sera chargé d’établir la faute de l’Etat qui a ordonné des injections dangereuses avec une légèreté confondante, et c’est l’Etat qui fixera lui-même le montant des réparations qu’il doit aux victimes.

La précision n’est pas anodine : s’agissant de vaccins expérimentaux, on aurait pu imaginer un cadre d’indemnisation relevant directement des juridictions civiles. Mais le gouvernement a pris soin, par avance, de modérer l’addition qu’il s’attend à payer.

Véran anticipe des décès

Je recommande vraiment à tout le monde de lire attentivement cet article L 3111-9 du code de la santé publique, qui fut créé… par Agnès Buzyn pour maîtriser les coûts d’indemnisation dus à la campagne de vaccination obligatoire aux onze vaccins pour les enfants. Le texte apporte cette terrible précision :

L’offre d’indemnisation adressée à la victime ou, en cas de décès, à ses ayants droit est présentée par le directeur de l’office.

Si un infirmier meurt demain quelques heures après avoir reçu une injection, sa femme aura le plaisir de recevoir un courrier du directeur de l’office lui proposant une petite gratification pour Noël, à prendre ou à laisser. C’est de la procédure classique.

Il était utile de la rappeler pour redire que, lorsque Véran exhorte la moitié du pays à passer à la piqûre, il n’a aucune illusion sur le fait que des gens mourront. Tout cela est écrit, prévu, administré.

Les explications emberlificotées sur les femmes enceintes : Véran, ton nez s’allonge !

Une autre farce cynique officielle qui mérite d’être retenue tient à la vaccination des femmes enceintes. Selon Olivier Véran, vacciner une femme enceinte dès les premiers jours de grossesse ne pose pas de problème. Il est sûr qu’on dispose forcément de beaucoup de recul sur le sujet, et que le ministre pouvait, sans complexe, mettre en scène la vaccination de sa collègue Olivia Grégoire.

Les esprits un peu rigoureux auront noté que ces discours officiels reposent sur une étude publiée par le New England Journal of Medicine, qui dit en réalité le contraire des propos qu’on lui prête.

On relira ici sa conclusion :

Preliminary findings did not show obvious safety signals among pregnant persons who received mRNA Covid-19 vaccines. However, more longitudinal follow-up, including follow-up of large numbers of women vaccinated earlier in pregnancy, is necessary to inform maternal, pregnancy, and infant outcomes.

(Les découvertes préliminaires ne montrent pas d’alarmes de sécurité évidentes parmi les femmes enceintes qui ont reçu des vaccins à ARN messager. Cependant, des suivis plus longs, incluant des suivis sur un plus grand nombre de femmes vaccinées précocement dans leur grossesse, est nécessaire pour collecter des éléments sur les mères, la maternité et les enfants).

Voilà qui aurait dû tempérer fortement les ardeurs inoculantes d’Olivier Véran. Mais les médecins de l’hôpital de Grenoble savent mieux que le reste du monde ! Donc, Véran a dit que les femmes enceintes ne prenaient aucun risque en recevant leur vaccin dès les premiers jours de grossesse.

Sauf que… ce n’est pas exactement ce qui est dit par le conseil d’orientation stratégique sur la vaccination anti-COVID (si, si, ça existe !), dans son brillant avis putassier du 21 juillet 2021 :

On vous recommande de bien lire ce tissu (dont la concision étonne) de circonvolutions purulentes, concentré en quelques lignes (vu l’absence d’importance du sujet, pourquoi se fatiguer à argumenter et à analyser, un torchon suffit) :

1) il n’y a aucun argument pour parler d’un danger de la vaccination pendant les premiers jours de la grossesse

2) les femmes qui le souhaitent peut donc être vaccinées dès le premier jour

3) mais s’il s’agit de les obliger, rien avant le quatrième mois.

Mais si ces vaccinologues sont si sûrs de leur fait et de l’innocuité des vaccins, pourquoi n’assument-ils pas d’imposer le vaccin dès le début de la grossesse ? Seraient-ce parce qu’ils savent qu’en réalité, c’est dangereux, mais qu’ils ne veulent pas le dire pour ne pas mettre leur ministre en porte-à-faux (et ne pas rater une promotion) ? D’ailleurs ne rappellent-ils pas dans leur premier paragraphe qu’une vaccination précoce peut donner lieu à des « complications obstétricales » et des « conséquences pour le foetus » au cours du 3è trimestre ?

Je ne sais pas vous, mais moi, quand je lis un texte plein d’embrouilles sur un sujet aussi sensible, je suis tout de suite en alerte et je regarde les nez s’allonger. Il y a du mensonge dans l’air !

Véran connaît les dangers des vaccins

N’ayez en tout cas aucune illusion sur le cynisme gouvernemental. Personne n’a le moindre doute sur le fait que l’obligation vaccinale fera des victimes, des handicapés à vie, des morts. Tout cela est déjà budgété et préparé. Y compris chez les foetus.


Partager cet article
Commentaires

S'abonner au Courrier des Stratèges

Abonnez-vous gratuitement à la newsletter pour ne rien manquer de l'actualité.

Abonnement en cours...
You've been subscribed!
Quelque chose s'est mal passé
Chute des bourses : scénario probable à 45% d'une correction sévère, par Vincent Clairmont

Chute des bourses : scénario probable à 45% d'une correction sévère, par Vincent Clairmont

Les bourses mondiales ont tremblé aujourd'hui. Est-ce un accident ou les premiers soubresauts d'une grande crise du capitalisme ? Vincent Clairmont pèse aujourd'hui le pour et le contre, et nous donne son diagnostic et son pronostic sur la suite des événements. Cette journée de mardi restera gravée comme un avertissement. Tandis que Wall Street s'enfonçait en pré-séance (le Dow Jones régressant de 0,8 % et le Nasdaq de 0,6 %) , l'Europe suivait, le CAC 40 chutant de 1,86 %. L'indice de la p


Rédaction

Rédaction

ALERTE : l'usure des corps au travail représente 1% du PIB, par Elise Rochefort

ALERTE : l'usure des corps au travail représente 1% du PIB, par Elise Rochefort

Bien sûr, il y a la politique partisane, les calculs d'appareils, les débats présentés comme essentiels par la presse subventionnée. Il y a les indicateurs de l'INSEE, de la BCE, de la Banque de France, et d'une multitude d'organismes publics. Et il y a, au-delà de ces informations grises, une terrible réalité: les troubles musculo-squelettiques (TMS) atteignent la moitié des salariés... et ils coûtent 1% du PIB. C'est l'autre France. La France d'en-bas. L'analyse approfondie des données de s


Rédaction

Rédaction

Adhésion de l'Albanie : Bruxelles élargit pour masquer son échec

Adhésion de l'Albanie : Bruxelles élargit pour masquer son échec

L’Union européenne poursuit son mouvement d’expansion, comme si l’avenir du continent dépendait uniquement de l’addition de nouveaux membres. L’Albanie franchit une étape décisive avec l’ouverture du dernier groupe de chapitres de négociation, celui portant sur les ressources, l’agriculture et la cohésion. À Bruxelles, on justifie ce choix par une prétendue “nécessité géopolitique”. En réalité, cette fuite en avant révèle surtout l’incapacité structurelle de l’UE à se repenser autrement que par


Rédaction

Rédaction

La dépréciation du dollar, une bonne nouvelle pour les Américains ?

La dépréciation du dollar, une bonne nouvelle pour les Américains ?

En France, beaucoup de souverainistes proposent un Frexit fondé sur une dévaluation régulière du franc, future monnaie nationale, plutôt que sur un retour à la compétitivité par une saignée dans la gabegie de dépenses sociales. Trump teste pour nous, et voici le résultat. C'est une chute que l'on qualifierait de "spectaculaire" si elle ne portait pas en germe les stigmates d'un déclassement silencieux. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, le billet vert a dévissé de plus de


Rédaction

Rédaction