Nous retrouvons Thierry Meyssan pour le dernier quinzomadaire de l’année. Il passe en revue les événements du début de ce mois de juillet si atypique, en commençant par la décomposition qui frappe la France et en terminant à Gaza et la destruction massive des populations civiles. En passant par les relations entre Jean-Marie Le Pen et la CIA. Une interview essentielle à ne pas manquer.
Éric Verhaeghe
Pendant que les Etats-Unis sont absorbés dans une quasi guerre civile et tandis que le parti macroniste et la gauche française sombrent dans le ridicule de leur franchouillardise attardée, des enfants, des femmes, des hommes continuent de mourir massivement à Gaza sous les tirs de l’armée israélienne mais aussi du fait des conséquences des destructions, du blocus, de la famine et des maladies. Le journal britannique « The Lancet » pose la question du nombre de morts réels par rapport aux victime
CDS
Deux témoignages troublants de partisans de Donald Trump qui ont assisté au meeting de Butler en Pennsylvanie posent la question du délai à réagir mis par les services de sécurité chargés de la surveillance de la réunion et de la protection de l’ancien président américain. Restons-en cependant au contenu – très concret – de ces témoignages, avant de monter un scénario complotiste. Et demandons-nous quel enchaînement mène des propos très violents prêtés à Joe Biden en date du 8 juillet dernier
CDS
Depuis le soir de la dissolution, le 9 juin, une figure s’est imposée contre tous dans la vie politique française : celle du trotskyste Jean-Luc Mélenchon, avec ses airs de Savonarole, bien décidé à refonder une société sur des bases marxistes-léninistes sans concession malgré tous ses amis de la gauche sociale-démocrate qui tentent de le faire. Et le récit de la semaine politique que nous venons de passer ne fait que confirmer le caractère central que joue Mélenchon dans la structuration de la
Éric Verhaeghe
Le désordre institutionnel qui règne en France depuis le 10 juin n’a pas seulement des impacts négatifs sur la scène intérieure. Il contribue aussi beaucoup à l’affaiblissement de notre pays sur la scène internationale, et à notre perte de crédibilité. Nous passons en revue aujourd’hui les inconvénients de cette situation tant sur la scène mondiale que sur la scène européenne.
Éric Verhaeghe
L’examen de la situation budgétaire mensuelle de l’Etat souligne utilement un point qui a échappé à l’observation générale : malgré les promesses main sur le coeur de Bruno Le Maire (qui avait annulé par décret 10 milliards de dépenses publiques en février), le déficit budgétaire est en pleine explosion à la fin du mois de mai. Les chiffres de juin, qui ne sont pas encore publiés, ne devraient pas être meilleurs. Pour le prochain gouvernement, la situation est donc alarmante… et pendant ce temps
Éric Verhaeghe
Les détenteurs de capitaux placés en France, depuis lundi 8 juillet, envisagent sérieusement de transférer leur épargne vers la Suisse, l’Italie ou même l’Espagne. C’est ce qui ressort des informations que vous ne trouverez pas dans les médias subventionnés français mais qui remplissent les médias européens. Hors de France, on est perplexe sur les Frenchies qui votent pour le racket fiscal du Nouveau Front Populaire et puis s’effraient de ce qu’ils ont fait. On prête à Bossuet cette formule: « D
CDS
La crise politique et institutionnelle qui s’ouvre (et que nous annonçons depuis plusieurs semaines) est d’abord une crise de calendrier : d’un côté, un Président de la République qui entend rester le « maître des horloges », de l’autre côté, des échéances qui s’imposent à lui, le contraignent et risquent fortement de le déstabiliser. Par exemple, les échéances du 18 juillet constituent un écueil majeur pour sa stratégie de curiaçage des oppositions. Je vous explique pourquoi.
Éric Verhaeghe