Notre président, lors de la 53e « Conférence sur la sécurité » à Munich, a affirmé que la France soutiendrait l’Ukraine et que la Russie devait perdre cette guerre. Cependant, il ne nous a pas donné la ou les raisons pour lesquelles l’Ukraine devait gagner et la Russie perdre.
Rédaction
La guerre en Ukraine est-elle l’occasion et le théâtre d’un bouleversement total de l’ordre post-guerre en Europe ? À l’occasion de la Conférence sur la sécurité de Munich, les organisateurs présentent leurs idées pour un renouvellement de « l’ordre mondial libéral basé sur des règles ». En fait, il s’agit moins de la sécurité de l’Europe que de forger de nouvelles alliances pour des revendications et des intérêts hégémoniques. Munich_Security_Index_2023
courrier-strateges
Dans quelques jours, cela fera un an que la Russie et l’Ukraine sont en guerre. Dans la chronique qui suit, publiée également par l’Antipresse, je propose d’identifier quelques lignes de force, qui se dégagent, pourvu que l’on fasse l’effort de croiser les sources et comparer les informations, nombreuses, disponibles sur internet. J’ai regroupé mes remarques sous deux rubriques : (1) Russie: hésitations tactiques, supériorité stratégique. (2) Le rejet massif de la russophobie occidentale par le
CDS
Voisin d’aucun pays contrôlé par V. Poutine, le Congo partait assez mal dans la course aux faveurs du cinéaste BHL. Et, comme un malheur ne vient jamais seul : il est, à la différence de l’Ukraine, totalement peuplé d’africains !
CDS
On se souvient du livre « 2 Français sur 3 », où, en 1984, Valéry Giscard d’Estaing avait dressé le portrait d’une réforme globale de la société française qui réunirait un large consensus dans l’opinion. Quarante plus tard, le macronisme est en train de prouver qu’il est la maladie sénile du giscardisme. Car le projet de société porté par Emmanuel Macron (si tant est que nous puissions parler de projet, le mot « gadget » serait sans doute mieux adapté) ne vise pas à rassembler 2 Français sur 3,
Éric Verhaeghe
Il a longtemps agi en arrière-plan, il est désormais sur la scène mondiale à Munich : le diplomate de carrière Christoph Heusgen a repris la direction de la Conférence sur la sécurité de Munich des mains de Wolfgang Ischinger. Heusgen ne fait pas mystère de sa mission : l’Allemagne doit assumer un rôle de leader en matière de politique de sécurité – côte à côte avec ses alliés transatlantiques, bien sûr.
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A la fin de l’année dernière, le pire ralentissement économique s’est produit sur le flanc oriental de l’Union européenne. Dans le même temps, la Pologne est devenue le « détenteur du record » de cette baisse. Cela a été rapporté dans le journal polonais Rzeczpospolita.
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Edouard Husson a fait son point hebdomadaire sur l’Ukraine, en évoquant les signaux relativement opaques et peu convergents envoyés du « terrain ». Une évidence se détache aujourd’hui : l’Occident n’a pas terrassé Poutine, et les Etats-Unis eux-mêmes semblent en plein flottement. La mise en scène des « ballons chinois » espionnant le sol américain fait probablement partie de cette communication de diversion destinée à masquer l’indécision stratégique dans le conflit.
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