Aimant à scandales, la Première Trogneux est là pour attirer les secteurs les plus anti-macronistes de l’opinion dans une série d’enfumages dont le principe reste celui de la plupart des enfumages de la politique spectacle – qui est d’éluder les questions : Combien ça coûte ? Et : Qui paie ?
CDS
Les voies de fait sont répréhensibles : c’est l’un des piliers de l’État de droit. Mais les peines hallucinantes requises contre les agresseurs du chocolatier d’Amiens – un certain Trogneux – laissent craindre une évolution du système français vers un tout autre modèle.
CDS
En plein désarroi face à sa gestion chaotique de la réforme des retraites et au rejet populaire que ses provocations ont suscité, Emmanuel Macron, on l’a compris, cherche à se refaire une virginité. Il mène une offensive médiatique à coups de fake news fiscales que le cartel de la presse subventionnée prend bien garde de ne pas démonter, trop soucieux de préserver le milliard d’aides publiques qui permet aux grands titres de survivre envers et contre tout. De façon totalement cynique, le Préside
Éric Verhaeghe
Après une longue réflexion, le Courrier a décidé de parler de l’affaire Jean-Michel Trogneux, qui occupe de nombreux esprits et de nombreuses conversations dans le plus parfait silence des médias subventionnés. Nous faisons le choix d’en parler à cause de cette discrépance entre les conversations en ville et le silence de la presse stipendiée par le régime et cartellisée par les milliardaires qui ont fait l’élection d’Emmanuel Macron. Il nous semble qu’il y a là l’indice d’une déconnexion qui ré
Éric Verhaeghe