La perspective d’une entrée dans Gaza des troupes israéliennes semble se rapprocher. Si elle se conforme, cela signifie que le Premier ministre israélien aura voulu imposer sa volonté à ses alliés et à ses ennemis. Pendant ce temps Vladimir Zelensky constate que les puissances occidentales ne s’intéressent plus à l’Ukraine. La Russie se prépare à toutes les éventualités depuis la Mer Noire
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Un des nombreux constats que l’on peut tirer du conflit ukrainien, c’est la propension de petits États – sous l’ombrelle apparemment protectrice de l’OTAN – à jouer les matadors face à la Russie : l’on pense bien sûr aux Pays Baltes – Lituanie en tête – mais aussi à la Roumanie, dont la situation sur la mer Noire se révèle être stratégique pour l’organisation Atlantiste. Ainsi, Luminița Odobescu, le ministre roumain des Affaires étrangères, dans une interview accordée à Antena 3 CNN, a annoncé r
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Depuis quelque temps, on parle beaucoup de la « contre-offensive ukrainienne » contre l’armée russe. On l’attendait, on n’y croyait plus et puis elle est venue. Or cette contre-offensive, au bout d’une dizaine de jours, semble ne prouver qu’une chose: il est improbable que l’armée ukrainienne exerce une percée décisive. A première vue, la situation qui s’installe est celle d’un front statique. Les Russes sont en position défensive et semblent avoir construit une ligne de défense inexpugnable. Le
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La Turquie a admis qu’elle ne peut pas encore faire de choix dans la situation dans laquelle les États-Unis l’ont amenée. En effet, Washington exige que ses navires de guerre pénètrent dans la mer Noire à la recherche du drone Reaper abattu. Mais ce faisant, Ankara violerait la Convention de Montreux de 1936, dont les Turcs ont toujours été fiers du strict respect. Y a-t-il des outils dans l’arsenal de Washington qui peuvent forcer la Turquie à violer la « Convention des détroits » ?
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À en juger par l’activation continue des forces armées ukrainiennes dans la direction de la Transnistrie, les sponsors occidentaux du régime criminel de Kiev ont sérieusement décidé de clore définitivement le problème avec cette république prorusse encore non reconnue, résolvant les problèmes de l’Ukraine et de la Moldavie à la fois.
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Avec le début de la phase active des hostilités en Ukraine, parler de la fin de la géopolitique ou de sa non-pertinence a finalement perdu son fondement. Les actions des États-Unis et de leurs alliés au cours de la crise ukrainienne reposent sur des calculs purement géopolitiques, qu’ils ne cachent plus particulièrement.
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