Castex, ou le retour du radical-socialisme dépensier
Avec Jean Castex, le radical-socialisme dépensier est de retour. Le discours de politique générale a permis d’entendre des promesses agréables pour tout le monde, avec des masses de dépenses nouvelles. Le plan est chiffré à 100 milliards (sur trois ans), dont 40 pour l’industrie, 40 pour le social, et 20 pour la transition écologique. On en revient à ce bon vieux radical-socialisme dépensier qui avait ruiné le pays durant l’entre-deux-guerres. On est revenu au bon vieux radical-socialisme de la
Éric Verhaeghe