Flanqué de quelques divers-droites, le parti-zombie LR dépose une proposition de loi destinée à « sauver nos clochers ». La très laïque République aurait donc « ses » églises ? Non, mais elle a ses perceptions, et tous les prétextes sont bons pour y acheminer les fruits de notre travail.
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Amour, Gloire et Beauté : pour rendre jaloux l’irrésistible Ciotti, la femme fatale Nadine Morano ferait les yeux doux au jeune étalon de Montretout, Bardella. Silence de mort dans l’EHPAD républicain, qui doit être fasciné. Ou serait-ce le Rivotril ?
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Jamais à court de mauvaises nouvelles, CNEWS, en ce dimanche pluvieux, m’apprend qu’Eric Ciotti et son moignon de parti (dit « LR ») existent toujours. Et qu’il souhaite former un « cabinet de l’ombre » – ce qui, dans son cas, revient finalement à transformer son passe-temps favori (vivre dans l’ombre de Macron) en une quasi-profession.
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Soucieux de ne pas faire descendre dans la rue la Manif pour tous en même temps que les Gilets Jaunes, Pap Ndiaye a mis en stand-by son grandiose projet de saccage égalitaire de l’enseignement privé (principalement catholique).
CDS
Aujourd’hui, j’ai interviewé le député Pierre-Henri Dumont, Républicain, qui m’a expliqué pour quelle raison il avait voté la motion de censure contre le gouvernement, dans l’affaire des retraites. Il a bien voulu expliquer sa vision de la réforme… et développer quelques autres sujets, dont celui de sa proposition de loi sur l’immigration. C’est l’occasion pour le Courrier de rappeler nos récents entretiens parlementaires avec des députés LR et RN sur l’actualité.
Éric Verhaeghe
Olivier Marleix, président du groupe parlementaire LR à l’Assemblée Nationale, a bien voulu accorder une interview au Courrier sur l’évolution politique passée et future. Il évoque pour nous le « pacte de corruption » qui aurait pu permettre à Emmanuel Macron d’accéder au pouvoir, mais aussi l’actualité politique des Républicains, notamment le vote de son groupe dans le cadre de la réforme des retraites. Dans la pratique, Olivier Marleix est d’inspiration gaulliste. Je livre ici son témoignage i
Éric Verhaeghe
L’après-Macron a commencé. Le premier produit de l’ère Macron est sous nos yeux, c’est le tohu-bohu gauchiste: de Sainte-Soline aux journées de grève de l’inter-syndicale en passant par les manifestations spontanées du soir, toute la palette des gauches se déploie, des plus radicales aux plus modérées. L’élection législative partielle en cours dans l’Ariège montre bien un débat entre les « hystériques » et les « archaïques ». Mais on peut faire confiance aux différentes gauches pour se réunir et
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